Au mois de mars 2010, j'étais revenu ici sur l'algarade de Jean-Luc MELENCHON faite à un étudiant en journalisme de Sciences Po. De semaines en semaines, je mesure auprès de mes clients combien le fondateur du Parti de Gauche est jugé bon communic'acteur. Quelle gouaille, quelle culture, quelle présence, quel sens de la rhétorique... Et pourtant, comme le lui faisait remarquer Nicolas DEMORAND le 5 janvier au micro d'Europe 1, il plafonne entre 6.5 et 7 % d'intentions de vote. Peut-être que l'explication toute simple tient dans le coté caractériel du personnage. Car c'est bien connu, en radio ou télévision, l'agressivité dessert toujours celui qui en use. Et celle du leader du Font de Gauche pourrait bien finir par nuire à ses ambitions électorales. Mais peut-être que tout ceci n'est qu'une (im)posture. L'ex sénateur socialiste, souhaitant reprendre le rôle laissé vacant par Georges MARCHAIS d'éternel rouspéteur (attention aux vents... ) des médias. Les deux vidéos qui suivent devraient permettre de se faire une idée entre la copie et l'original. Et, comme on dit sur France 2 : "à vous de juger !"