Doit on l'initiative à une petite main soucieuse de bien faire ? Ou bien s'agit 'il de l'action d'un logiciel, en charge de détecter des images protégées par le droit d'auteur ? Quoi qu'il en soit, pour de nombreux visiteurs de Daylimotion, le fait d'avoir retiré mardi 28 décembre les faux voeux présidentiels mis en ligne par un représentant du PC s'est apparenté à de la censure. Heureusement, quelques heures plus tard, via une nouvelle diffusion depuis le compte officiel du parti communiste cette fois, la vidéo était à nouveau visible. Tout est bien qui finit bien. D'autant que ce début de polémique a permis de rappeler que le droit au pastiche (article L122-5 du code de la propriété intellectuelle) s'applique aussi aux plateformes de partage. Vite, puisse pareille tolérance être également accordée aux montages vidéos à caractère pédagogique. Cela faciliterait grandement la vie de votre serviteur...