"Je sais que tu as un haut débit ma chère Ghyslaine". Je n'ai pu m'empêcher ce jeu de mots en ayant au bout du fil Ghyslaine PIERRAT me proposant de m'envoyer par mail la couverture de son livre paru chez l'Harmattan. C'était il y a quelques minutes à peine. Et comme beaucoup de mes collègues, chacun reconnaîtra dans ce clin d'oeil une allusion au côté tornade blanche de cette conseillère en communication décidemment hors du commun. Nous nous connaissons depuis près de cinq ans. A chacune de nos conversations je suis toujours surpris par sa densité énergétique (comme dirait un client ingénieur) et la foison de ses projets. A lire la quatrième de couv de "La communication n'est pas un jeu", son bouquin s'annonce passionnant. Il pose notamment la question de la mondialisation de l'opinion via Internet et du rôle croissant des "spin-doctors". Cela me rappelle une discussion avec un membre de cabinet ministériel sur ces hommes de l'ombre qui ont le pouvoir sans les responsabilité. De quoi griser plus d'une éminence grise... Comptons sur "Gisou", c'est le petit nom de cette docteur en communication politique et économique, pour rappeler les règles éthiques et la valeur intrinsèque d'une profession devenue incontournable.